L’épargne obligatoire des salariés depuis 1985
Le deuxième pilier est composé de la LPP (Loi
sur la Prévoyance Professionnelle), de la LAA (Loi
sur l’Assurance-Accidents) et de l’IJM (Indemnité
Journalière Maladie). Seuls les salariés y cotisent
obligatoirement. Les travailleurs indépendants
peuvent également s’affilier à une caisse de pension s’ils le souhaitent.
Le but du deuxième pilier est de compléter les
importantes lacunes de l’AVS via un capital épargné qui peut être converti en rentes versées au
salarié durant toute sa retraite. Additionnées, les
rentes de l’AVS et de la LPP couvrent 60 à 70%
du dernier revenu de l’assuré, ce qui améliore
sa retraite, mais ne comble pas entièrement son
manque à gagner.
Selon l’article 25 de la Loi sur la Prévoyance Professionnelle, les cotisations sont paritaires. La moitié
de la cotisation est payée par l’employeur, l’autre
moitié est déduite du salaire brut de l’employé.
Ces cotisations prélevées tout au long de la carrière professionnelle du salarié constituent son
avoir de vieillesse.
Pour calculer la rente LPP, la caisse de pension
multiplie l’avoir de vieillesse par le taux de conversion, fixé légalement à 6,8%.
Un assuré ayant un avoir de vieillesse de CHF
300’000.- dans sa caisse de pension percevra
une rente annuelle de : 300’000.- x 6,8% = CHF
20’400.-, soit CHF 1’700.- par mois.
L’épargne obligatoire des salariés depuis 1985
Le deuxième pilier est composé de la LPP (Loi
sur la Prévoyance Professionnelle), de la LAA (Loi
sur l’Assurance-Accidents) et de l’IJM (Indemnité
Journalière Maladie). Seuls les salariés y cotisent
obligatoirement. Les travailleurs indépendants
peuvent également s’affilier à une caisse de pension s’ils le souhaitent.
Le but du deuxième pilier est de compléter les
importantes lacunes de l’AVS via un capital épargné qui peut être converti en rentes versées au
salarié durant toute sa retraite. Additionnées, les
rentes de l’AVS et de la LPP couvrent 60 à 70%
du dernier revenu de l’assuré, ce qui améliore
sa retraite, mais ne comble pas entièrement son
manque à gagner.
Selon l’article 25 de la Loi sur la Prévoyance Professionnelle, les cotisations sont paritaires. La moitié
de la cotisation est payée par l’employeur, l’autre
moitié est déduite du salaire brut de l’employé.
Ces cotisations prélevées tout au long de la carrière professionnelle du salarié constituent son
avoir de vieillesse.
Pour calculer la rente LPP, la caisse de pension
multiplie l’avoir de vieillesse par le taux de conversion, fixé légalement à 6,8%.
Un assuré ayant un avoir de vieillesse de CHF
300’000.- dans sa caisse de pension percevra
une rente annuelle de : 300’000.- x 6,8% = CHF
20’400.-, soit CHF 1’700.- par mois.
Les objectifs principaux
Payer moins d'impôts
La prévoyance étatique est l’AVS. Elle assure les besoins de base de toute la population. Lorsque le revenu de la rente ne suffit pas, les prestations complémentaires (PC) permettent de disposer du minimum vital. La loi prescrit le niveau des cotisations, le niveau et la nature des prestations, ainsi que la manière de les calculer. La prévoyance vieillesse étatique repose sur le financement par répartition. L’argent versé à l’assurance par les assurés actifs va directement aux retraités. Il n’est pas mis de côté. Le financement par répartition présente un grand avantage : du fait que les recettes sont immédiatement dépensées, l’évolution des taux d’intérêt et le renchérissement n’ont que peu d’impact. Mais ce système présente aussi des inconvénients : si le nombre des bénéficiaires de rente augmente par rapport au nombre de cotisants, l’équilibre entre recettes et dépenses peut être compromis.
Epargner
La prévoyance étatique est l’AVS. Elle assure les besoins de base de toute la population. Lorsque le revenu de la rente ne suffit pas, les prestations complémentaires (PC) permettent de disposer du minimum vital. La loi prescrit le niveau des cotisations, le niveau et la nature des prestations, ainsi que la manière de les calculer. La prévoyance vieillesse étatique repose sur le financement par répartition. L’argent versé à l’assurance par les assurés actifs va directement aux retraités. Il n’est pas mis de côté. Le financement par répartition présente un grand avantage : du fait que les recettes sont immédiatement dépensées, l’évolution des taux d’intérêt et le renchérissement n’ont que peu d’impact. Mais ce système présente aussi des inconvénients : si le nombre des bénéficiaires de rente augmente par rapport au nombre de cotisants, l’équilibre entre recettes et dépenses peut être compromis.
Protéger sa famille
La prévoyance étatique est l’AVS. Elle assure les besoins de base de toute la population. Lorsque le revenu de la rente ne suffit pas, les prestations complémentaires (PC) permettent de disposer du minimum vital. La loi prescrit le niveau des cotisations, le niveau et la nature des prestations, ainsi que la manière de les calculer. La prévoyance vieillesse étatique repose sur le financement par répartition. L’argent versé à l’assurance par les assurés actifs va directement aux retraités. Il n’est pas mis de côté. Le financement par répartition présente un grand avantage : du fait que les recettes sont immédiatement dépensées, l’évolution des taux d’intérêt et le renchérissement n’ont que peu d’impact. Mais ce système présente aussi des inconvénients : si le nombre des bénéficiaires de rente augmente par rapport au nombre de cotisants, l’équilibre entre recettes et dépenses peut être compromis.
Devenir propriétaire