Un système de répartition fondé en 1948
Le premier pilier est composé de l’AVS (assurance
vieillesse et survivants), de l’AI (assurance invalidité)
et des PC (prestations complémentaires).
Toutes les personnes qui exercent une activité
lucrative en Suisse sont tenues d’y cotiser. Depuis
1997, les personnes mariées sans activité lucrative
y sont également soumises.
L’objectif principal du premier pilier est de couvrir
le minimum vital. Les rentes de l’AVS garantissent
30 à 40% du dernier revenu, ce qui entraîne une
lacune financière considérable si aucune autre
forme de prévoyance n’est mise en place.
Les rentes de l’AVS sont comprises entre CHF
1’195.- et CHF 2’390.- par mois en fonction des
revenus que l’assuré a gagnés durant ses années
de cotisation.
Pour percevoir la totalité de la rente à laquelle
l’assuré a droit, il devra avoir cotisé durant 44 ans,
à défaut de quoi une rente calculée au prorata des
années de cotisation sera versée.
Un assuré ayant cotisé durant 44 ans pour un
salaire moyen de CHF 5’000.- percevra une
rente mensuelle de seulement CHF 2’046.- à sa
retraite, soit environ 40% de son revenu.
Un système de répartition fondé en 1948
Le premier pilier est composé de l’AVS (assurance vieillesse et survivants),
de l’AI (assurance invalidité) et des PC (prestations complémentaires).
Toutes les personnes qui exercent une activité lucrative en Suisse sont
tenues d’y cotiser. Depuis 1997, les personnes mariées sans activité
lucrative y sont également soumises. L’objectif principal du premier pilier
est de couvrir le minimum vital. Les rentes de l’AVS garantissent 30 à 40%
du dernier revenu, ce qui entraîne une lacune financière considérable si
aucune autre forme de prévoyance n’est mise en place.
Les objectifs principaux
Payer moins d'impôts
La prévoyance étatique est l’AVS. Elle assure les besoins de base de toute la population. Lorsque le revenu de la rente ne suffit pas, les prestations complémentaires (PC) permettent de disposer du minimum vital. La loi prescrit le niveau des cotisations, le niveau et la nature des prestations, ainsi que la manière de les calculer. La prévoyance vieillesse étatique repose sur le financement par répartition. L’argent versé à l’assurance par les assurés actifs va directement aux retraités. Il n’est pas mis de côté. Le financement par répartition présente un grand avantage : du fait que les recettes sont immédiatement dépensées, l’évolution des taux d’intérêt et le renchérissement n’ont que peu d’impact. Mais ce système présente aussi des inconvénients : si le nombre des bénéficiaires de rente augmente par rapport au nombre de cotisants, l’équilibre entre recettes et dépenses peut être compromis.
Epargner
La prévoyance étatique est l’AVS. Elle assure les besoins de base de toute la population. Lorsque le revenu de la rente ne suffit pas, les prestations complémentaires (PC) permettent de disposer du minimum vital. La loi prescrit le niveau des cotisations, le niveau et la nature des prestations, ainsi que la manière de les calculer. La prévoyance vieillesse étatique repose sur le financement par répartition. L’argent versé à l’assurance par les assurés actifs va directement aux retraités. Il n’est pas mis de côté. Le financement par répartition présente un grand avantage : du fait que les recettes sont immédiatement dépensées, l’évolution des taux d’intérêt et le renchérissement n’ont que peu d’impact. Mais ce système présente aussi des inconvénients : si le nombre des bénéficiaires de rente augmente par rapport au nombre de cotisants, l’équilibre entre recettes et dépenses peut être compromis.
Protéger sa famille
La prévoyance étatique est l’AVS. Elle assure les besoins de base de toute la population. Lorsque le revenu de la rente ne suffit pas, les prestations complémentaires (PC) permettent de disposer du minimum vital. La loi prescrit le niveau des cotisations, le niveau et la nature des prestations, ainsi que la manière de les calculer. La prévoyance vieillesse étatique repose sur le financement par répartition. L’argent versé à l’assurance par les assurés actifs va directement aux retraités. Il n’est pas mis de côté. Le financement par répartition présente un grand avantage : du fait que les recettes sont immédiatement dépensées, l’évolution des taux d’intérêt et le renchérissement n’ont que peu d’impact. Mais ce système présente aussi des inconvénients : si le nombre des bénéficiaires de rente augmente par rapport au nombre de cotisants, l’équilibre entre recettes et dépenses peut être compromis.
Devenir propriétaire